Être indépendant, c’est choisir la liberté. Mais cette autonomie a un revers : surcharge de travail, isolement, pression financière… autant de facteurs qui peuvent mettre à mal leur bien-être mental et physique. Selon une étude récente*, 99 % des indépendants considèrent leur équilibre mental comme essentiel, et 79 % en font même une condition sine qua non de leur réussite.
Alors, comment concilier indépendance et bien-être ?
La question du burn-out est centrale : près de 7 indépendants sur 10 admettent avoir déjà eu peur d’y être confrontés. Ce risque touche surtout les moins de 40 ans, qui découvrent souvent les exigences de ce mode de vie.
Pourtant, une majorité des indépendants (80 %) ont choisi ce statut dans l’espoir d’améliorer leur bien-être, et pour 75 % d’entre eux, l’essai a été concluant.
Le défi ? Ne pas recréer les contraintes du salariat (horaires fixes, objectifs trop ambitieux) qui limitent la flexibilité et augmentent le stress.
Ces facteurs cumulés augmentent la probabilité d’un épuisement professionnel.
D’après l'auteure américaine Leanna Johnson Lee, les symptômes les plus courants sont :
Identifier ces signaux tôt permet d’agir avant que la situation ne s’aggrave.
Heureusement, les indépendants adoptent de plus en plus de rituels bien-être :
Ces pratiques renforcent la résilience et favorisent une activité plus durable.
Contrairement aux salariés, les indépendants n’ont pas de dispositif collectif pour prendre soin de leur santé. D’où l’importance de souscrire à une mutuelle bien-être pensée pour les indépendants.
👉 Exemple : Nostrum Care, mutuelle spécialisée pour les indépendants, propose jusqu’à 300 € de remboursement par an sur plus de 40 médecines douces (psychologues, sophrologues, yoga, etc.), afin de replacer le bien-être au cœur de la vie professionnelle. Cette mutuelle bien-être propose également une prise en charge des produits bien-être comme les compléments alimentaires ou encore les protections périodiques.
1. Les indépendants sont-ils plus exposés au burn-out que les salariés ?
Oui, car ils cumulent isolement, surcharge et pression financière, sans soutien RH.
2. Quels sont les premiers signes d’alerte ?
Troubles du sommeil, irritabilité, perte de concentration et fatigue persistante.
3. Comment prévenir l’épuisement professionnel ?
En instaurant des routines saines : sport, pauses régulières, activités créatives et soutien psychologique.
4. Une mutuelle peut-elle aider à préserver son bien-être ?
Oui, en remboursant des soins essentiels comme la psychologie, le yoga ou la sophrologie.
L’indépendance n’a de valeur que si elle rime avec équilibre. Pour entreprendre sans s’épuiser, il est essentiel d’identifier les risques, de reconnaître les signes d’alerte et d’adopter des pratiques favorisant le bien-être. Et parce que le bien-être mental et physique ne doit jamais être relégué au second plan, s’appuyer sur une mutuelle adaptée aux indépendants est un investissement stratégique. Ainsi, bien-être et indépendance peuvent aller de pair, au service d’une carrière durable et épanouissante.
* Etude BVA mai 2023 pour Shine et Nostrum Care
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